Confronté au décès d’un être proche, nous sommes confronté.e.s à surmonter cette étape par ce que l’on nomme le deuil.
Peut-être bien qu’on fait plutôt son deuil lorsqu’on accepte l’idée que la perte qu’on subit nous fait changer, possiblement pour toujours.
Peut-être que l’expérience du deuil tient au fait de consentir à passer par une transformation dont on ne peut anticiper le résultat final. Il y a le fait de perdre, mais aussi l’effet transformateur de la perte, et cela, on ne le mesure pas plus qu’on ne le planifie.
La relation que nous continuons de nouer avec nos morts nécessite un autre cheminement.
L’hypnose permet à l’inconscient de comprendre ce qui s’est passé, d’accepter ce changement et surtout d’agir dans nos relations avec nos morts.
L’hypnose permet aux personnes de prendre conscience de leurs ressources, d’entrevoir de nouvelles perspectives et de transformer la relation au défunt dans une perspective plus apaisée.
La culpabilité, la colère, la tristesse ou la peur peuvent bloquer un processus de deuil.
Parfois une seule séance est suffisante, d’autres fois, plusieurs séances sont nécessaires. La thérapie est un processus de reconstruction.
Pour aller plus loin, voici un podcast où j’apporte ma réflexion sur le sujet des rites funéraires
https://podcast.ausha.co/fleur-de-cactus/chapitre-deux-le-pouvoir-du-rite-funeraire