La décision de voir un psychanalyste est très personnelle et peut souvent surprendre l’entourage.

Quand on s’adresse à un psychanalyste, c’est le plus souvent parce que quelque-chose ne va pas dans notre vie. On veut en guérir, guérir de ce que l’on appelle son symptôme, son malaise, son mal de vivre, ses inhibitions, ses impossibilités…

On s’adresse alors  à un psychanalyste pour aller mieux, pour vivre mieux. C’est la première intention qui recouvre une demande plus importante. En réalité, on n’entre pas en analyse s’il n’y a pas un je-ne-sais-quoi qui nous trouble, nous empêche…

Pour démarrer une analyse, il faut avoir une interrogation sur ce qui nous arrive, sur ce que c’est, d’où cela vient.  La recherche, au delà de l’aspect thérapeutique, c’est d’apprendre sur soi, sur la partie de son être que l’on ignore.

Les entretiens permettent d’évoquer, dans la confidentialité assurée par le cadre des consultations, tout ce sur quoi nous avons envie de travailler. La durée et les modalités de la prise en charge sont évaluées au cas par cas.